Ce vendredi 26 février, sur TLT, dans l’émission les comptoirs de l’info, nous présentions le livre En quête de Job paru aux éditions Zorba.
Etaient présents à mes côtés : le réalisateur Ouahide Dibane, l’emblématique Bernard Margras – représentant de la CGT, ancien ouvrier de JOB – et le Directeur de l’école des musiques vivantes Music’Hall, Philippe Metz.
Ambiance.
Comme tu es courageuse ! Je trouve ça tellement horrible, la télé. Je suppose qu’il faut y aller. Uhm. Argh. Tu passes très bien, en tout cas.
:0)
@ McComber : Oui ça fait peur. Mais j’avais une coatch et elle m’a beaucoup aidée. Et je la remercie, si des fois elle passait par ici.
Bravo Frédérique!! Et l’idée d’un coatch est très intelligente lorsqu’on n’a pas l’habitude! (Hé? t’es mariée? t’es pas libre des fois? on boit un café? Oups!)
Maman? Z’ai fait une bêtise!
@ Depluloin : Oui, un bon coatch, ça sert à comprendre comment fonctionne le média et comment s’adapter à lui. J’ai encore bien des progrès à faire, mais cela m’a beaucoup aidée. (Je ne peux pas répondre à ces questions hautement indiscrètes !)
Frédérique, outre votre livre et le film qui en a été fait … eh bien je suis ravie de vous voir « animée » et … vous êtes … tout à fait … pleine de vos charmes écrits!
@ Merci Kouki. Ce n’est pas mon exercice favori, mais on peut apprendre et progresser :0)
Solaire, oui. Lumineuse, à croquer, pondérée, pertinente et passionnée à la fois. Une intelligence et une connaissance de ton sujet.
Depluloin, laisse ma sœur tranquille ou je te casse les dents.
@ Anna : Fais chaud non ? Suis rouge, moi, sais pas pourquoi :0)
C’est Koukikikouaché?
Frédérique, même couachée ainsi, c’est mieux qu’honorable, c’est parfait! Je me souviens d’un direct sur M6 où je me suis vautré lamentablement, ou plutôt non, je donnais l’impression d’avoir un parapluie quelque part…
@ Anna : Elle est canon ta frangine, t’aurais pu… (M’en fous, j’ai plus de dents!)
@ Vous êtes gentil Depluloin, mais la perfection n’étant pas de ce monde : ne me tentez pas :0) C’est interessant de voir à quel point certains médias remettent en jeu l’image qu’on a de soi et comment ils peuvent bouleverser la perception que l’on a de sa voix, de son attitude corporelle, de son visage.
Bravo, tu t’en tires bien en effet. Je suis allée plusieurs fois sur un plateau et j’ai détesté la façon dont on traite en général les personnes et les sujets. Et puis ce fond d’écran qui bouge sans cesse, c’est pénible. Bref, je n’aime pas la télé. Mais toi, tu es vraiment très, très, très.
@ Zoé, tu es rentrée de vacances ou bien tu m’écris du bord de la mer ? Ce soir, je mange quelques huitres, je penserai à toi. Greg Lamazère et son comparse (dont j’ai oublié le nom) sont des gens charmants qui ne cherchent pas à prendre leurs invités en défaut mais les écoutent vraiment parler. Il y a des émissions où on coupe la parole en permanence aux invités et ou le présentateur fait son one man show, qui sont proprement insupportables à regarder. Je détesterais me trouver dans un piège pareil.
Quand je pense que vous avez osé dire que vous n’étiez pas photogénique… Vous êtes très bien à l’image, et à l’audio aussi. J’aime bien votre sourire. Il vous va très bien.
@ Monch : Tant mieux, parce que je n’arrive pas à en changer :0)
Vous l’avez bien mérité. 🙂
http://www.youtube.com/watch?v=z0Fij8cucLM&feature=related
Mon chien aussi n’est qu’un dragueur!! Tout soudain, il aime! Vas-y que je te passe de la pommade! Oooooh le rongeur!! Tout le monde sera surpris, sauf moi!
@ Depluloin, vous ne savez pas grogner. C’est peut-être parce qu’il vous manque quelques dents :0)
Depluloin, y a pas moins dragueur que moi. J’ai toujours eu horreur de ça : parade, jabot qui gonfle, la roue, etc. J’ai l’ sens du ridicule chez les autres et chez moi.
Si FM avait été mauvaise à l’écran, j’ l’aurais dit. Là, c’était l’ contraire. Elle était bonne, très bonne même. 😀
Pouf pouf!!! J’arrive en retard!!! Tout un chacun a fait des commentaires élogieux mérités! (t’as eu peur que je ne vienne pas, avoue!). Tu es très très bien sur cette vidéo! Mais si je t’assure (ouvre la fenêtre si tu as trop chaud; il est vrai que la température est bien douce pour la saison!). Je suis très fière de toi et je le dis haut et fort! Tu es naturelle, souriante (le véritable sourire, celui qui vient du coeur et passe d’abord par le regard, pas le sourire colgate), radieuse, et puis tu maitrises à la perfection le sujet! Tu es ce qui aurait manqué sans toi à cette réalisation: la FEMME.
Anna, Depluplu!!! Elle est bien votre soeur hein!
Immigrée en Hautes Pyrénées (un bonheur) depuis 10 ans, je découvre ce matin l’existence des JOB. J’en ai roulé des cigarettes avec leur papier sans savoir…
Donc: merci Frédérique d’avoir servi de « porte d’entrée » (pardonnez l’image, mais les portes sont souvent jolies!) et de relais pour cette lutte, cette aventure humaine qui touche et peut réchauffer (malgré les douleurs par lesquelles les « Jobs humains » sont passés). Vite me procurer le livre/film et surtout envie de partager avec d’autres.
On se sent souvent esseulé et impuissant devant la violence de ce qu’une certaine politique et économie nous imposent. Alors que…Pas toujours…
Frédérique je ne pourrai vous écouter à Montauban le 12, timing trop serré (sans parler de l’empreinte carbone…).
A tous:Je suis ravie de vous lire, pétillements légers ou moins et rebonds!
@ agatateabag : Merci de votre passage (sans trop d’empreinte carbone, quoi que :0). Oui l’histoire des Job, dans le contexte actuel, ne peut qu’interpeller. Nous sommes passés comme le dit Bernard Margras « d’un patronnat paternaliste à un patronnat financier », la pression n’en est que plus dure. C’est un passage charnière où il faut apprendre à se réinventer. Certaines initiatives (comme l’Alma) préfigurent cette mutation.
@ Mon chien aussi : Oui, »Sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur. » (Beaumarchais?) Le Figaro – que je n’ai pas ouvert depuis trente ans et encore c’était pour les annonces immobilières.
Frédérique, je suis sûr que vous avez rêvé de plateaux de cinéma? Je peux vous aider si vous voulez? Hummm? (Gnagna m’a laissé toutes mes dents. Même grimpée sur un tabouret, ses petits poings battaient l’air sous mon nez. Qu’elle était mignonne!)
@ Babeth 31 : Ah quand même ! Mais ou t’étais ? Bon ça se voit que tu n’es pas objective, mais tant pis. Je laisse. J’assume, comme on dit.
@ Depluloin : Le cinéma ? Nan, Depluloin, je ne crois pas que ça collerait entre lui et moi. Mais un petit portrait signé Depluloin, ça je dis pas non :0)
@FM. Le patronat paternaliste n’était, globalement, pas moins dur que le patronat financier. quand on voyait des gens soumis au rythme de certaines entreprises de la naissance à la mort, c’était pas amusant. En revanche, on pourrait se poser la question de la salarisation de la société, puisque le moment est favorable pour retourner la machine. Mais on préfère essayer de préserver les débris…
Bon, j’ vais r’tourner à mes miquets. Ou dire des conneries, ça r’pose.
Depluloin, vous êtes dans le cinéma ?…
@ La pression est montée Monch, le patronnat financier a d’autres moyens. « Conserver les débris », hum… La mémoire plutôt, l’empreinte de ce qui a été vécu. Mais il est vrai que les anciens modèles sont voués à disparaître et c’est pour ça que je crois en la capacité d’imaginer, de repenser, de réinventer.
J’ai senti ton émotion qui faisait de ce passage télévisé quelque chose de juste, bravo.
Bernard Margras parle peu mais bien, il m’impressionne. Un sacré homme !
Les débris du système, je voulais dire, la construction mentale qui va avec : « l’esclavage » librement consenti.
Je ne voulais rien dire d’autre.
Ah mais moi je hurle : Vive le patronat paternaliste! Je gueule même!! Depuis mes expérience avec eBay, le Crédit Agricole, et je ne sais plus quelle compagnie d’assurance!! C’est fou : y a plus personne!
Mon premier compte en banque, c’était à la banque Baron à Montréjeau (Pyrénées). Le président fondateur Monsieur Baron & frères passait souvent derrière le guichet en bois, serrait des mains, demandait des nouvelles de la vache malade… Deux succursales, une à Luchon, l’autre à Saint Gaudens. Quand il a dû vendre à la Banque populaire, je peux vous assurer que sa clientèle en a pleurer!
@ Frédérique : un petit portrait? un clip? Ah ce serait bien! Je vais y réfléchir…
@ Mon chien : Vous vous reposez beaucoup je vois! Non, non, je retire! je retire immédiatement!!
En retard moi itou, mais alors vraiment, bravo, Fredaime, pour ta simplicité lumineuse, ton intelligence et ton humour (de même d’ailleurs que tous ceux qui t’entourent, y compris les présentateurs – bon sang, ça existe encore des présentateurs comme ça, qui écoutent leurs invités et les mettent en valeur ? J’y croyais plus…) Ça fait du bien de voir, enfin, un peu « d’humain », au sens noble du terme, derrière la monstruosité télévisuelle et l’arasement social actuels.
(Tu me donnes de l’énergie, tiens ! Merci !)
Pas objective, tu as dit pas objective!? Est-ce que j’ai un tête de pas objective?! àliov ej sius etuot eénruoter emmoc c………L!
@Môman : Ouais, l’est pas vilaine la frangine, hein ?
Les vieux débris ce sont ceux qui s’agrippent aux colifichets et aux Rollex. On va changer d’aire et d’air. Et tant mieux, ça va faire du bien.
@ Gilles : En effet, tout au long de cette histoire, j’ai pu entendre Bernard Margras et il porte une parole juste qui fait mouche. C’est sa manière naturelle de s’exprimer, une sorte de philosophe, avec beaucoup d’humour.
@ Monch : OK, ce n’était pas si évident à première lecture
@ Depluloin : Chiche !
@ Sophie K : C’est un beau compliment de me dire que je te donne de l’énergie :0)
@ Babeth 31 : Luc est donc ton héros ?
@ Zoé : Et roule, ma poule :0)
@ Anna : Il y a une certaine jeune fille près d’une fontaine qui te remercie avec émotion.
@Frédaime : avec plaisir, comme on dit chez nous dans le Sud-Ouest :o)
Frédérique, vous seriez ma sœur? Ça me fait deux petites sœurs? (Et un frère aussi? Mais il a pas été reconnu celui-là, pas officiellement.)
Faut que je demande à maman!
@ Mon chien aussi : oui, « dans le cinéma », beaucoup moins depuis dix ans!
@ Depluloin : Nous les Martin, avons de fort nombreux cousins et large parentèle :0)
Allez hop ! un p’tit machin avec des rimes !
Bien pesé, bien emballé !
J’ai voulu ce matin te rapporter des roses ;
Mais j’en avais tant pris dans mes ceintures closes
Que les noeuds trop serrés n’ont pu les contenir.
Les noeuds ont éclaté. Les roses envolées
Dans le vent, à la mer s’en sont toutes allées.
Elles ont suivi l’eau pour ne plus revenir ;
La vague en a paru rouge et comme enflammée.
Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée…
Respires-en sur moi l’odorant souvenir.
@ Monch vous me dites de qui c’est et moi d’ores et déjà, je vous dis que j’adopte (j’ai un côté comme ça, incorrigible romantique).
@ Mon chien aussi : Je ne veux pas croire que vous citiez un poème aussi tarte! Ah… c’est de vous? Ah c’est magnifique!! « Respires-en sur moi l’odorant souvenir. » Quelle merveille!
Oh la la…
@FM. C’est de Marceline Desbordes Valmore.
@Depluloin, vous n’avez pas de cœur ! 😀
Puisque le p’tit poème précédent n’a pas rencontré tous les suffrages, en voici un autre, un tout p’tit … son intégrale vient de paraître chez Flammarion…
On apprend l’eau – par la soif
La terre – par les mers qu’on passe
L’exaltation – par l’angoisse –
La paix – en comptant ses batailles –
L’amour – par une image qu’on garde
Et les oiseaux – par la neige
@ Oui, c’est vrai, on apprend la paix en comptant ses batailles. Mais que c’est long, qu’elles sont nombreuses.
Ok, c’est de qui « que je le note » ?
@AdS. Préparez votre post-it : c’est un poème de Emily Dickinson.
Il est beau, hein ?
@FM : J’ sens comme une pointe de mélancolie chez vous…
@ Monch : Ah oui, vous l’avez remarqué ? C’est ma petite marque de fabrique. Trés beau poème. Elle n’était pas un peu mélancolique Emily Dickinson, toute seule au fond de sa chambre ?
J’en ai pas l’air mais j’ suis très attentif… à tout.
Quoi ????? Et je ne l’ai pas reconnu ??????? J’adore Dickinson et j’ai des poèmes d’elle chez moi. J’ai même lu la prose de Bobin à son sujet tellement je l’adore, Dickinson. :o)
@FM : elle était surtout phobique :o)
@ Anna : N’importe quoi. C’est « la vengeance de la blonde platine » :0) (Toi aussi tu as lu Bobin ? Repends-toi, immédiatement !)
@ Monch : …
@AdS. J’ai bien envie de plus vous causer : lire Bobin !!!! Hugues Aufray puis Bobin… pfffff…
@FM. … ???
Dites, elle s’est déjà pendue AdS ?… C’est exprès ?…
J’assume pour Bobin. A une époque j’ai lu pratiquement tous ses bouquins.
@ Anna : C’était il y a longtemps, c’est oublié (moi même… mais j’étais jeune et inexpérimentée)
@ Monch : Non, mais je crois qu’elle y pense. Surtout depuis que le coiffeur lui a raté sa couleur (mouhahahaha).
(… RAD)
Hugues Aufray c’est vous qui le citez mon gros, pas moi ! (vous avez vu comme j’ai habilement évité le « mon cher » ? :))
Y a pas à dire, pour être habile, c’est habile :0)
Pourquoi renier ce qu’on a aimé lire avant? Et puis d’abord avant quoi? De toutes façons, ces lectures ont participé à votre construction! Et il n’y a point de honte à avoir lu Christian Bobin! Ah ces enfants!!!!!
@AdS. Vous m’ faites penser de plus en plus à une blonde que j’ connais…, ma chère.
@FM. Dites-lui qu’il faut éviter l’élastique quand on s’ pend : ça marche pas. 🙂
@ Frédérique
Au risque de paraître hors sujet par rapport à la tournure des commentaires précédents, je viens vous rendre une petite visite puisque vous m’avez si gentiment invitée !
J’ai revu votre émission et croyez-moi, c’est bien vous qui avez le plus joli décolleté du plateau !
Blague à part, belle prestation et personnages sympathiques.
Evidemment, il ne s’agissait pas d’un débat, d’où absence de crêpage de chignons et et de mauvaise-foi.
Votre présentation de livre était claire et assurée.
Ah, cette histoire de fermetures d’entreprises me rappelle mon passé syndical, bien loin derrière moi, j’en ai connu des situations, occupations d’usines, manifestations, grèves, projet de coopératives …mais la volonté politique n’y était, pas vraiment …
Ce sursaut de dignité des travailleurs dans cette bourrasque de fermetures, de délocalisation, de mondialisation, s’il pouvait se généraliser ! On se demande jusqu’où les patrons (quels qu’ils soient, ce sont toujours des patrons, pas de philanthropes) pourront gratter la moelle jusqu’à ce que cela éclate, parce que la marmite est en train de bouillir et pas un peu …
zuuuut, le com n’est pas passé, je teste …
@ Babeth 31 : Tu as raison. Simplement, c’est une époque révolue, alors que – tu le sais – j’ai beaucoup lu Bobin à une lointaine époque, aujourd’hui je ne peux plus m’en approcher. C’est ainsi.
@ Monch : Ah, vous savez, les blondes :0)
@Saravati : Mais si ça marche ! Simplement, les commentaires sont modérés. Je n’ai pas encore eu necessité d’user de la censure, mais je me réserve le droit d’y avoir recours contre les indésirables. Ils doivent le savoir car ils ne campent pas par ici :0).
Pour les patrons, il ne faut pas généraliser et surtout, il faut faire le distingo entre les dirigeants de grandes entreprises et ceux de moyennes et petites structures (les plus nombreuses) car ce ne sont pas les mêmes. Dans le cas de Job, il s’agit de financiers véreux et de fraudes avérées (ils ont été condamnés lourdement y compris à de la prison ferme). Des histoires de gros sous, de profit et de mépris manifeste pour les ouvriers et les ouvrières. Une vieille histoire, donc, à répétition, dont on connaît le refrain. Merci d’être passée.
@Babeth31. C’est en reniant qu’on progresse. Sinon, restons sur place. Et puis, on peut très bien mal apprécier quelque chose, se faire abuser et se rendre compte qu’on s’est trompé.
Et c’est en reniant qu’on devient rognon ( oui, ben je suis chez moi, je sors pas !).
@FM. Vous venez de remporter le titre de « Femme Malade »… 🙂
Allez, encore un… dites-moi si ça vous dérange pas… ou laissez pas passer.
Enfin me voilà debout
Je suis passé par là
Quelqu’un passe aussi par là maintenant
Comme moi
Sans savoir où il va
Je tremblais
Au fond de la chambre le mur était noir
Et il tremblait aussi
Comment avais-je pu franchir le seuil de cette porte
On pourrait crier
Personne n’entend
On pourrait pleurer
Personne ne comprend
J’ai trouvé ton ombre dans l’obscurité
Elle était plus douce que toi-même
Autrefois
Elle était triste dans un coin
La mort t’a apporté cette tranquillité
Mais tu parles tu parles encore
Je voudrais te laisser
S’il venait seulement un peu d’air
Si le dehors nous permettait encore d’y voir clair
On étouffe
Le plafond pèse sur ma tête et me repousse
Où vais-je me mettre où partir
Je n’ai pas assez de place pour mourir
Où vont les pas qui s’éloignent de moi et que j’entends
Là-bas très loin
Nous sommes seuls mon ombre et moi
La nuit descend
@ Monch : C’est bien trop beau pour le censurer. Tout spécialement ce passage : « Où vais-je me mettre – où partir – Je n’ai pas assez de place pour mourir – Où vont les pas qui s’éloignent de moi et que j’entends – Là-bas très loin – Nous sommes seuls mon ombre et moi – La nuit descend « . Merci pour ces partages. Nom de l’auteur, s’il vous plait ?
J’ai entendu « Bobin »? Non, pas possible…
Depluloin entend des voix (vous verrez dans mon prochain billet qu’il y a une raison à cela) !
Bobin des Rois (mages, bien entendu).
Sa femme s’appelle Bobine (elle est drôle).
Sa fille, c’est Bobinette (elle choit beaucoup et elle cherra encore)
Quant à son fils, c’est Bobinard, il et très gentil avec les dames. Un amour.
Il est tard, j’ suis en hypoglycémie…
Un chou à la crème, une meringue, un bobeignet peut-être ?
@Monch’ : non mais qu’est-ce que c’est que ces bobards ?
Mmmmmm… j’adore les bobeignets ! 😀
@AdS. Me r’gardez pas comme ça— avec vos yeux qu’on dirait des bobèches…
Et qui qui c’est qu’a eu le dernier mot?
@ Babeth 31 : Un bovidé ?
:0))))
(C’est tout ce que j’ai à rire, pardon.)
Bobet sur sa bécane.
Vous êtes cruel(le)s avec Bobin. Ouvrez un Psychologie Magazine ou un Jacques Salomé. Ou encore un Paulo Coelo. Et vous verrez la différence. Il est discret, modeste, humble. Il écrit de beaux textes. Il donne dans ses textes sens à la compassion alors qu’elle semble être devenue honteuse pour la plupart des êtres vivants dans les pays riches. Voire suspecte. Il est vrai que je n’ai lu que 3 ou 4 livres de lui mais ils m’ont marqué. En particulier sa vision de Saint François d’Assise.
@ Cher Gilles : J’ai lu quasiment tout Christian Bobin et à mes débuts, c’est un écrivain qui a compté. Aujourd’hui, je ne peux plus le lire, je ne sais expliquer pourquoi ce qui m’attirait hier, est tombé en cendres aujourd’hui. Mais nos petites plaisanteries ne sont que ce qu’elles sont, des mots pour rire. Il est arrivé la même chose à Charles Juliet avec un autre auteur (c’est dans son journal). Je ne peux aller chercher le nom à cette heure, mais je te le retrouverais. Parfois, il est nécessaire de prendre ses distances pour ne pas être avalé(e). C’est ce qu’il dit de cette désaffection en substance.