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Ma tanière sous les toits
Je suis abonnée depuis longtemps au site Culture31 et c’est donc avec plaisir que j’ai reçu chez moi le photographe Jean-Jacques Ader, venu faire un portrait atypique, celui de mon bureau. C’est le troisième d’une série intitulée : Tanières, le repaire des écrivains. Une discussion informelle, un échange simple et chaleureux où mon chien Vigo, […]
Réparer le langage, je peux.
Source : La dépêche du midi – 17 juin 2016. C’est une grande première pour les quelques élèves de 5e et de 4e du collège Jean-Rostand de Balma. Ce samedi, ils accueilleront des écrivains lors du premier salon qu’ils organisent avec l’association Réparer le Langage, Je Peux . Un salon qui prend tout son sens […]
Trois questions à Frédérique Martin par Jean Louis LE TALLEC
Est-ce à cause de la « marchandisation du monde » que vous avez donné pour titre à votre dernier livre : « J’envisage de te vendre » ?
Phoenix web interview
...Nous sommes entrés dans un temps de rage, largement relayé par les médias. Cette réalité me rend pessimiste. Mais il existe un contre-pouvoir, ce sont les initiatives citoyennes qui essaiment un peu partout dans le monde. Elles impliquent un changement radical de cap et travaillent à imaginer de nouvelles formes de sociétés. Leur présence et leur vitalité me donnent de l’espoir...
Encres vagabondes
"Une totale réussite. Le résultat est féroce mais cohérent, un côté ludique s’immisce au fil des pages pour contrebalancer les coups assénés par l'auteur, et l'ensemble est diablement jouissif et efficace. J'y ai trouvé pour ma part comme une parenté avec les nouvelles ou romans de l'écrivain belge Thomas Gunzig..." Dominique Baillon-Lalande
Le Matricule des Anges
"...Tout ceci pour dire que "J'envisage de te vendre" est toujours givré, souvent grinçant, parfois glaçant. Il y a du Woody Allen en Frédérique Martin, mais un Woody Allen égaré dans l'univers d'un Cronenberg ou dans celui d'un David Lynch. Bref, du cinéma qui fait rire, mais jaune." Anthony Dufraisse
Voix du Midi Lauragais
Un court métrage basé sur le dernier livre de Frédérique Martin. Lire l’article et visionner le court-métrage
enviedecrire.com
Frédérique Martin joue elle-même dans le court-métrage les deux rôles des protagonistes de sa nouvelle et lit le texte en voix off. Le résultat, très réussi, donne envie de découvrir les autres nouvelles de son recueil.
Lire l'article et visionner le court metrage
La dépêche du midi
…douze nouvelles aussi drôles que grinçantes… Yves Gabay Lire l’article
Page des libraires
Le nouveau recueil de textes de Frédérique Martin est totalement jouissif. Douze nouvelles à la thématique particulièrement originale, voire osée, écrites dans une langue acérée et sans concessions... Nathalie Iris
La vi(ll)e en rose
…Le coup de maestro de l’artiste qui tient la plume, c’est de dissimuler via son imagination et les situations parfois cocasses, souvent tragi-comiques qu’elle nous propose, des sujets totalement actuels, existentiels, récurrents avec une fausse légèreté mais une réelle élégance… par Christophe Maris Lire l’article complet
Libération
Un humour noir et des intrigues fantastiques...
Des personnages bien de notre temps sont saisis pendant une crise de nerfs, tandis qu'ils sont prêts à jeter le bébé avec l'eau du bain... par Virginie Bloch Laine
Figaro Magazine
Une sortie à suivre de très près !
La voix du Midi
Frédérique Martin pousse les travers de la société et imagine le monde de demain...
Challenge l’été des vingt défis
"Chronique d'un drame familial, Le vase où meurt cette verveine est un roman d'interrogations : Y a-t-il un âge pour aimer, quelle vie possible sans autonomie, où se trouve la vérité dans nos relations, notre enfance nous condamne-t-elle, jusqu'où sommes-nous capables d'aller quand nous sommes complètement perdus ?"
L’Orient, Le jour – Marathon des mots 2015
Bien que très éloignées géographiquement, culturellement et socialement, les deux écrivaines se découvrent de nombreuses correspondances à commencer par la thématique des jeunes et de l’amour, abordée dans leurs derniers romans respectifs.
Les lectures d’Antigone
Le vase où meurt cette verveine, un coup de cœur à la fois doux et terrifiant… Lire l’article complet
Les lettres musicales à Saint Jean
Il est des spectacles éblouissants visuellement et musicalement où les mots viennent apporter encore un peu plus de fascination. Il en est ainsi pour «Le Vase où meurt cette verveine», les lettres musicales de deux vieux amants adaptées du roman de Frédérique Martin.
LE DEVOIR : Libre de penser
... Roman d’époque et d’ambiance, il brosse une tranche de réalité qui rend hommage aux pensées et stratégies quotidiennes des jeunes de bonne volonté....
La Dépêche Grand Sud
Lien vers l’article en ligne
Interview La Vi-ll-e en Rose
Un roman fait pour le cinéma Ce rythme rapide, on le perçoit aussi dans les allers-retours entre les personnages qui se lisent comme des séquences cinématographiques. Si l’auteur se défend d’avoir écrit son livre pour le grand écran, on y retrouve pourtant une dimension visuelle très importante et le mot « travelling » à la […]
La dépêche – Castres
Un parcours littéraire jalonné de nombreux prix, une passion vécue avec beaucoup d’intensité…Lire l’article complet
Voix du Midi : Portrait
D’une carrière dans la bâtiment à écrivain, le parcours atypique de Frédérique Martin Crédit photo Florian Moutafian
Podcast Radio Présence – « Paroles d’auteur »
Entretien mené par Monique Faucher autour du roman « Sauf quand on les aime » [audio:https://www.frederiquemartin.fr/audio/10112014_paroleauteur.mp3]
Les mots de Mélo
Quel beau texte ! La plume tout en sensibilité révèle la complexité des liens, notamment filiaux, l’amour intense et indéfectible que se portent ces deux retraités mais aussi la perte et la cruauté inhérentes à la vie. Lire la chronique complète.
ELLE Magazine
Pourquoi on l'aime ? Pour son écriture subtile qui dit si bien les liens qui nous unissent. Son dernier roman "Sauf quand on les aime", dresse un portrait tout en finesse de la jeunesse fracassée d'aujourd'hui.
Podcast Librairie Ombres Blanches
La rencontre qui a eu lieu le 10 septembre 2014 à la Librairie Ombres Blanches a été enregistrée et rediffusée sur Radio2T�r et Radio Radio. Un bel entretien mené par Jean-Antoine Loiseau et ponctué de lectures du roman « Sauf quand on les aime ». [audio:https://www.frederiquemartin.fr/audio/rencontre_20140910_1800_ob.mp3]
Prix Littéraire Mémoire d’Oc 2015
La Carsat Midi-Pyrénées organise chaque année depuis 1991, un prix littéraire Mémoire d’Oc qui récompense un ouvrage portant sur un aspect de l’histoire ou de la vie en Occitanie. Sont présélectionnés pour le prix 2015 : La semaine des sept douleurs – Solenn COLLETER, éditions Wartberg Et Dieu reconnaîtra les siens vol.1 : La main […]
Prix Lycéens en toutes lettres
« Sauf quand on les aime » est en lice pour le prix « Lycéens en toutes lettres ». Douze romans sélectionnés, huit semaines de lecture et délibération des jeunes le 18 novembre 2014. Bonne lecture à eux tous.
Le blog de Laurie Lit
Voilà ce que j'ai aimé, des personnages simples, paumés, qui se posent beaucoup de questions sur eux, qui font attention aux autres. Il y a beaucoup de tendresse dans ce livre.
Biblioteca magazine
Un roman totalement actuel qui raconte la difficulté d'une jeunesse à se trouver, à rêver, une jeunesse qui a soif de vivre et brandit l'amour comme un ultime rempart
TGV Magazine
Frédérique Martin croit fermement en la vigueur inviolable de la poésie, de l'authenticité face aux catastrophes.
François Perrin
Cultures Toulouse
Une narration maîtrisée qui rend les personnages plus vrais que nature, le tout dans un rythme soutenu qui happe le lecteur.
Version Fémina
On est touché par ce portrait d'une jeunesse désenchantée mais solidaire. L'auteur trempe sa plume dans un réalisme dur et brutal, mais elle n'omet pas d'y apporter une belle dose de sensibilité. Vraiment attachant.
La cause littéraire
Frédérique Martin construit une partition orchestrale. Au fil des pages, elle déploie toute une gamme de registres de langue, de l’humour à la dérision, de la cocasserie à l’ironie féroce, du trivial au poétique, du tragique à l’épique, en passant par le fantastique. Son texte est scandé par des poèmes en italiques, des images, des métaphores filées.
Interview vidéo Networkvisio.com
Bouleversant, un vrai coup de coeur ! Magnifique roman épistolaire qui nous plonge dans les sentiments humains des plus subtils aux plus exacerbés, jusqu’à l’effroi : « Le vase où meurt cette verveine ». Frédérique Martin nous livre ici les petits secrets de ce magnifique roman d’amour entre deux personnes séparées par la maladie mais […]
Metronews – Septembre 2014
... le dernier roman très remarqué de Frédérique Martin...
Interview de TLT, télévision de Toulouse
Interview sur TLT Toulouse
Entretien vidéo avec Page, le magazine des libraires
Entretien enregistré à l’occasion de la sortie de Sauf quand on les aime, éditions Belfond.
Mes bulles d’air
C’est un tourbillon d’émotions qui m’a complètement soufflée, après quelques premières pages calmes et douces, la réalité tombe comme un couperet.
Les facéties de Lucie
Une évidence. Ce roman m'a happée.
Blue Moon
Un récit émouvant derrière lequel on sent une colère rentrée et vibrante à l’encontre de notre propre inertie... ou de notre indifférence.
Dans la bibliothèque de Noukette
Conquise, une fois de plus. La langue surprend, souvent dure, parfois âpre, toujours vraie. Les mots égratignent, soignent aussi
Magazine Page des libraires
Voici un roman qui chante l'amitié et l'amour d'une bande de jeunes amis colocataires. Dans une société où la précarité, la violence, l’indifférence peuvent mener au pire, le respect, la tendresse et la solidarité qu'ils s'évertuent à préserver auront le dernier mot.
Serendipity
Un trio qui devient un quartet qui devient un quintet qui fait une symphonie et qui redevient un quartet qui fait un requiem. Sauf quand on les aime est un chant qui va vous ravir.
Femme actuelle – Août 2014
On adore tout autant que son superbe roman épistolaire « Le vase où meurt cette verveine » sorti en poche.
Ce que Marguerite Lit
Il y a dans l’écriture de Frédérique Martin à la fois de la douleur, de la hargne, mais aussi de la douceur, de la tendresse, de la délicatesse. Elle donne l’impression, parfois, de nous comprendre, nous, lectrice (lecteur?), d’avoir compris ce qui nous travaille, ce qui nous chamboule, ce qui nous fait peur. D’avoir écrit […]
Librairie le goût des mots
une histoire bouleversante, qui explore les thèmes de l'amitié, la solidarité, et aussi la violence de la société contemporaine
A bride Abattue
Elle nous livre un récit vif, amusant, toujours tendre, souvent poignant, parfois insoutenable comme la vie peut l'être souvent.
Le blog de Mille et une frasques
...une plume très belle qui sait faire alterner douceur et poésie (il y a de très jolis petits passages descriptifs) avec des mots et un rythme d’une grande puissance.
Presse « Sauf quand on les aime »
ELLE Magazine : Pourquoi on l’aime : Pour son écriture subtile qui dit si bien les liens qui nous unissent L’Alsace : Rien dans ce court et beau roman écrit à fleur de peau n’est superficiel Biblioteca magazine : Un roman totalement actuel qui raconte la difficulté d’une jeunesse à se trouver, à rêver, une […]
La Dépêche du Midi
Une nouvelle fois, le style alerte et vivant, la précision narrative de l'auteure impressionnent, et font de ce livre une excellente réussite. Les dialogues, une des forces de Frédérique Martin, sont aux petits oignons... Yves Gabay.
Les lectures de Martine
C'est beau. On a envie d'y croire aussi. Et c'est tout !
Le blog de Liloulicom
Un livre lumineux !
Le blog du petit carré jaune
Pas facile de vous parler d’un livre qui brûle les mains, les yeux, les tympans, le cœur. Découvrir un roman que l’on n’attendait pas aussi fort, aussi terrible.
Revue Page, Août 2012
Frédérique Martin manie le roman épistolaire avec beaucoup de dextérité et d’intelligence, emmenant le lecteur jusqu’au dramatique dénouement final. Nous sommes loin, très loin, du roman complaisant, la lucidité des personnages sur eux-mêmes et sur leurs proches est magnifiquement évoquée... Nathalie Iris
La Dépêche, Août 2012
Remarquablement construit...en un terrible crescendo. Yves Gabay
Intramuros, Juillet 2012
Frédérique Martin a planté une verveine. Cueillez et laissez infuser pour un pur moment de lecture bonheur. Michel Dargel.
Ouest France, Août 2012
Un roman sur les rapports familiaux et la vieillesse. Actuel et bien écrit.
TerraFemina, Août 2012
Un roman qui touche, surprend et questionne. Entretien avec Frédérique Martin, qui s'est interrogée avec nous sur la famille et ses enjeux.
TGV Magazine, septembre 2012
C'est une chronique du manque et de la douleur à laquelle s'est attachée Frédérique Martin dans ce bouleversant roman épistolaire. François Perrin.
La vie, septembre 2012
Quand les masques tombent. Cruel et envoûtant... Eglantine Gabaix-Hialé
Actualitté, octobre 2012
Attention, ce livre, aux abords doux et sensibles, (scandé de « ma très chère femme, mon cher mari ») presque émouvant, est sans pitié, sans concession. Il vous glace, au final, malmène allègrement vos idéaux de famille modèle, crée le malaise, dérange profondément, pénètre vos entrailles au plus vif, vous fait mal car d'une justesse effroyable, percutante. Ce livre commotionne, il livre une réalité peu harmonieuse, difficile à affronter, violente mais sans doute pas si éloignée de nos histoires personnelles.
Le pèlerin, novembre 2012
L'auteure offre un roman subtil sur l'amour conjugal. Elle en célèbre la constance et en explore aussi les limites.
Le Quotidien du Pharmacien, Mars 2013
...mais ne vous attendez pas à de suaves sentiments !
Le blog de Bricabook
Frédérique Martin a l’art de jouer avec nos coeurs, comme avec des yoyos : son écriture sait atteindre là où cela fait très mal, atrocement même, à en gémir lors de la lecture, elle sait aussi se montrer douce et tendre. Loin d’être un monde manichéen, cette écriture est source de vie, les mots palpitent et nous envoient très loin...
Le Blog de Blablabla Mia
Frédérique Martin nous parle de courage, de force, de quotidien incertain, des violences banalisées, et d'espoir, d'entraide, d'amitié, dans ce groupe de co-locataires (et leur vieux voisin) un peu bancal, aux sentiments qui se percutent, se taisent ou se subissent...
Votre beauté, Magazine avril 2013
La mère doit être assez généreuse pour laisser sa fille lui tendre des miroirs.
Le Populaire du Centre, mai 2013
Frédérique Martin imagine une fin surprenante et dérangeante Elle pousse ses personnages dans leurs retranchements. Son récit bascule dans la tragédie. De juste, il devient fort, émouvant.
Télévisions et radios
Revue de presse des télévisions et radios.
Presse « Le Vase où meurt cette Verveine »
Revue de presse articles presse papier.
Mes interventions ailleurs
Mes propres articles sur des journaux ou d’autres sites.